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Abdl FR story

by yuio

Chapter 1

Le soleil descendait derrière les immeubles dans le soir d'été. Il se faisait tard. C'était l'heure d'aller au lit. Avec ma femme, nous nous sommes tournés l'un vers l'autre. Mes mains se sont promenées sur son corps. Elle a fait de même.uis soudain arrêté. Devant ma surprise, elle m'a souri.

 

Jusqu'au moment ou ma main s'est glissée sous sa nuisette et s'est posée sur sa culotte. Je me s- Et oui, j'ai mis une couche ! A-t-elle dit en parlant de sa serviette périodique.

 

J'étais dépité en sachant que nos caresses s'arrêteraient rapidement ce soir-là. Voyant ma déception, elle posa elle aussi sa main sur mon sexe. Constatant mon excitation, par jeu, elle me caressa à travers mon pyjama.

D'abord très lentement et très doucement. Puis de plus en plus vite et en appuyant de plus en plus fort. Je refusais de me laisser aller si facilement et lui déclarais assez bêtement qu'elle n'arriverait à rien.

- Je vais me retenir. Na ! Dis-je.

- Voyons si tu peux. Répondit-elle en riant. Mais si tu n'y arrives pas, gare !

Elle me regardait dans les yeux et reprit, légèrement menaçante :

- Si tu n'es pas capable de te retenir, je m'arrangerai pour empêcher tout débordement!

 

Elle continua son manège. J'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur autre chose pour résister. Elle le vit à mon expression et redoubla d'efforts. Ce fut l'explosion! Je me répandis dans mon slip. Sentant l'humidité à travers le tissus, elle retira sa main, victorieuse.

 

- Tu aurais pu te retenir, me dit-elle sur un ton de reproche.

- Mais..."

- Attends demain. Tu vas voir ce qu'il va t'arriver, pouffa-t-elle.

 

Ignorant sa menace voilée, j'allais me nettoyer dans la salle de bain et me changeais avant d'aller dormir.

Plus tard, dans la nuit, je revis cette scène dans mon sommeil. Je la revis tellement bien que j'éjaculais en dormant. Au matin, mon épouse me caressa doucement la tête pour me réveiller. Sa main descendit ensuite le long de mon corps. En descendant elle découvrit les traces de mon "accident" nocturne sur le pyjama. Elle souleva brusquement le drap et émit un soupir réprobateur. Il y avait aussi une "carte de France" sur le drap.

 

- Je vais vraiment devoir faire quelque chose, soupira-t-elle devant mon air gêné.

J'eus beau argumenter, dire que je n'y étais pour rien elle ne voulut rien entendre.

- Ce n'est pas la question de ta responsabilité. Encore qu'à ton age, tu ne devrais plus tacher ton lit! Ecoutes, c'est simple, si tu te salis et que tu tâches les draps, je vais devoir prendre des mesures pour TE protéger.

 

- C'est bon! J'ai compris.

J'allais me retrouver avec un alèse dans mon lit! Je me souvins tout à coup qu'elle avait une sorte d'attirance pour ce genre d'article quand nous passions au rayon "literie" des grands magasins. De toutes façons, je ne sais pas pourquoi, mais cette idée ne me choquait pas outre-mesure. Je partis travailler en oubliant tout cela.

 

Le soir venu, j'allais prendre ma douche avant d'aller au lit. Je ne retrouvais pas mon pyjama.

- Chérie, c'est toi qui a enlevé mon pyjama de la salle de bain ?

- Oui, viens par ici mon chou !

Je sortis de la salle de bain dans le plus simple appareil. Avant que j'ai le temps de parler, elle reprit:

- Allonge toi sur le lit.

Bingo! en m'allongeant je sentis le bruissement d'une alèse sous le drap.

Bof! Je m'y ferais bien!

- Soulève un peu tes fesses, me dit alors ma femme.

 

Je n'avais pas prêté attention à ce qu'elle tenait dans ses mains quand j'étais entré dans la chambre. J'avais obéi à son injonction sans réfléchir. Je réalisais soudain qu'elle venait de déplier un change-complet qui semblait immense et avait entrepris de le disposer sous moi.

- Mais enfin, Chérie !

- Tu ne croyais tout de même pas que mes contre-mesures se borneraient à une alèse! Tu peux poser tes fesses.

- D'accord, mais de là à me mettre une couche ! Je ne suis pas un bébé.

- Ecarte les jambes. Voiiiilà. Tu dis ça, mais tu me remerciera quand je t'aurais évité la honte d'un nouvel accident! Rentre le ventre mon Amour! Et voilà. Tu n'es peut-être pas un bébé, mais maintenant, tu en as bien l'apparence!

Tout en parlant, elle avait rabattu l'avant de la couche entre mes jambes et fixait maintenant les adhésifs.

 

Ca faisait une impression bizarre. Je n'avait jamais remis de couche depuis l'âge de 3 ans. Autant dire que c'était une expérience nouvelle car je n'avais aucun souvenir de cette époque. Le moindre de mes mouvements provoquait le bruissement du plastique. Il m'était impossible de serrer complètement les jambes. Mais je dois reconnaître que c'était très doux à porter et aussi étrange que cela puisse paraître, assez confortable. J'imaginais un instant, qu'après tout j'étais redevenu un bébé.

 

Ma femme me fit ensuite passer mon pyjama par dessus, ce qui amortit un peu les bruits.

- Hé bien, on va pouvoir dormir tranquille ! S'exclame-t-elle en s'allongeant à mes cotés.

- Chérie, il y a un petit problème..."

- Quoi mon Amour ?

- Avec tout ça, je n'ai pas pu passer aux toilettes avant d'aller au lit.

- Ah non ! On ne redéfait pas tout maintenant. Je suis fatiguée et j'ai sommeil. Tant pis si tu as des fuites cette nuit. Tout est prévu !

 

Je soupirais et cherchais le sommeil. J'avais du mal à m'endormir. La sensation, les bruissements et l'étrange impression de me prendre pour un bébé me perturbaient. A force de m'entendre tourner et retourner dans le lit, au bout d'un quart d'heure, mon épouse s'exclama :

- Mais qu'est-ce qui se passe? Tu ne vas pas dormir à la fin !

- Je n'arrive pas à m'endormir. Porter une couche donne une sensation qui me semble tellement étrange.

- Peuh! Ce n'est rien, nous les femmes sommes habituées à dormir avec une couche.

- Ca n'a rien a voir! Ta couche à toi est ultra-mince et silencieuse.

- Ta couche à toi, c'est le minimum pour un gros bébé incapable de se retenir.

- Même pas vrai !

- Ha oui ! On va bien voir !

 

A cet instant, elle posa sa main sur mon pyjama pour sentir mon sexe à travers la couche. Je sentis rapidement monter une forte érection. Elle fit beaucoup moins d'effort que la veille et pourtant je ne tardais pas à atteindre l'orgasme.

- C'est tout vu ! Conclut-elle. Ne t'en fais pas, une couche-culotte, ça marche aussi pour ce genre de fuite!

Elle m'embrassa et me sourit en voyant mon air penaud.

- Allons bébé! Maintenant, c'est l'heure de faire dodo !

Je mis la main sur mon pyjama pour vérifier s'il était sec. Il l'était. Je venais de tester bien involontairement l'efficacité de ma couche. Néanmoins calmé par cet épisode érotique, et me sentant enfin à l'aise, je m'endormis rapidement.

 

Dans un demi-sommeil, vers trois heures du matin, je réalisais que j'avais vraiment envie de faire pipi. Connaissant le caractère entier de mon épouse et soucieux d'éviter toute dispute, je n'osais me risquer à retirer le change. Après tout elle était à l'origine de toute l'histoire. Tant pis pour les conséquences. Quoiqu'il advienne il était préférable pour moi de me laisser aller dans ma couche. Je cessais de lutter. Immédiatement, je sentis le liquide se répandre. J'appréhendais quand même les fuites. Heureusement qu'il y avait l'alèse. Mais la couche était efficace. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouvais que la chaleur sur mon entre-jambes était "réconfortante". Je me rendormis paisiblement.

 

Le réveil sonna. J'émergeais avec à nouveau une envie de faire pipi. Encouragé par l'efficacité de la couche dans la nuit, je n'eus pas d'hésitation cette fois. Je me laissais aller. Ce fut hélas trop pour un simple change complet. Quelques instants plus tard, je sentis que mon pyjama était humide. Une tache s'agrandissait sous moi, sur le drap...

 

A ce moment, ma femme qui s'était déjà levée retira la couette d'un geste sec.

- Allez fainéant. Debout !

Elle vit alors la tache et le pyjama mouillé et reprit pour elle même:

- Je ne le crois pas ! Il a fait pipi au lit ! Et pas qu'un peu ! Au fond j'aurais du m'y attendre. Je le savais ! Les hommes sont tous des bébés attardés !

Puis me regardant :

- Hé bien mon bébé, avec ce que je t'ai dit hier soir, j'aurais mauvaise grâce de t'en vouloir. Heureusement qu'il y avait l'alèse. En revanche, il va certainement falloir que nous adoptions des mesures plus efficaces, dit-elle en me regardant.

- Que veux tu dire ?

- T'occupe ! J'ai mon idée. Tu verra bien.

 

J'entrais dans la cuisine pour le petit déjeuner.

- Ton thé est prêt, mais désolé je n'ai pas de biberon, me dit ma femme, moqueuse.

Je soupirais et bus mon thé à petites gorgées.

- Ne fais pas cette tête là. Ca peut s'arranger! Tu veux que je t'achète aussi un biberon mon bébé ?

- Je ne suis pas un bébé.

- Tu parles! Non seulement tu est un petit cochon, mais tu fais pipi au lit comme les bébés. Donc, tu es un bébé.

- Je ne pouvais pas faire autrement. Hier soir, tu ne m'a pas laissé le choix.

- Je ne te reproche pas de n'avoir pas su te retenir mon bébé ! Mais reconnais-le. J'ai seulement sous-estimé tes... capacités, je vais te trouver une meilleure solution. Approche ! Elle venait de sortir de sa poche un mètre de couturière et mesurait prestement mon tour de taille. Elle mesura ensuite mon entre-jambes de mon nombril au bas de mon dos. Intrigué je demandais :

- Pour quoi faire ?

- La réponse ce soir, fit-elle avec un sourire énigmatique.

 

Je passais à la salle de bain et retirais, un peu honteux, ma couche trempée. Je passais sous la douche et me préparais pour aller travailler.

La journée passa sans incident notable. A la pause déjeuner, je marchais dans la rue et j'aperçus la vitrine d'une pharmacie une surabondance de produits sur le thème des soins aux bébés. Cette débauche de crèmes, de talc et de couches-culottes me fit repenser à ma nuit.

- Elle n'osera tout de même pas pousser plus loin ce petit jeu ? Pensais-je.

 

Le soir venu, je rentrais à la maison. Ma femme ne dit rien de particulier. Ce n'est qu'à l'heure du coucher qu'elle m'intercepta comme la veille, au sortir de la salle de bain. Je ne pensais pas qu'elle me referait le même coup. Pourtant le même ordre vint:

- Allez Hop! Sur le lit mon bébé.

 

En mon fort intérieur, je refusais encore d'écouter mon inconscient qui me hurlait de me laisser faire. Mais connaissant son obstination et soucieux d'éviter un éclat, j'obtempérais néanmoins.

Je soulevais mes fesses et écartais docilement les jambes. Elle me remit une couche, mais cette fois-ci elle était bien plus épaisse et elle avait ajouté des boosters. Trois couches rectangulaires longues et larges glissées entre mes jambes qui remontaient jusqu'à mon nombril. A ma grande surprise, elle me fit ensuite passer une culotte en plastique.

- C'est pour garantir une bonne étanchéité, dit-elle.

En fait la culotte-plastique plaquait les couches contre mon corps, les ajustant au plus près, accroissant ainsi le curieux sentiment de sécurité qui m'envahissait.

- Ecoute mon gros bébé. Tu as interdiction de toucher à cette culotte et à tout ce qu'il y a en dessous. Quoiqu'il arrive! Sinon, gare !

Comme j'ouvris la bouche pour protester, elle en profita pour me fourrer une sucette dans la bouche, m'imposant ainsi le silence.

- Tu vois mon gros poupon, j'ai fait quelques emplettes cet après-midi.

- J'ai vu, pensais-je sans pouvoir vraiment répondre.

 

Nous nous endormîmes. En fait, j'avais le même problème que la veille; elle ne m'avait pas laissé le temps de passer aux toilettes. Je fus contraint de mouiller mes couches dans la nuit.

Je me laissais encore aller abondamment au petit matin. Mais cette fois, tout alla bien. Ma femme se leva et me rejoignit dans la cuisine. Elle posa sa main sur mon derrière rebondi et vérifia l'état de ma couche. Elle apprécia avec satisfaction son efficacité.

- Bon ! Bébé a fait pipi au lit, mais avec de bonnes couches, ce n'est pas un problème n'est-ce pas mon chou ?

Je ne savais trop que répondre. Je me levais pour aller me préparer. A ma grande surprise, elle me suivit à la salle de bain.

- Ne touche pas! Je m'en charge. Fit-elle alors je que m'apprêtais à enlever la culotte en plastique.

- D'ailleurs, à partir de maintenant, c'est moi qui te l'enlèverai. Tu as interdiction d'y toucher, dit-elle en me faisant les gros yeux, comme si j'avais eu 3 ans!

Toujours soucieux de notre bonne entente, je la laissais me déshabiller.

- Et voilà! Bébé à quitté la vilaine coucouche mouillée !

- Tu sais, fis-je en riant, tu n'es pas obligée de me parler comme ça.

- Excuse-moi mon amour, mais quand je t'ai vu comme ça dans la salle de bain dans ta couche-culotte trempée, c'est tout ce qui m'est venu à l'esprit !

 

Les nuits passèrent. Sans m'en rendre vraiment compte, petit à petit, je m'étais bien habitué aux couches la nuit. Tellement bien que tous les matins, je me réveillais désormais dans un change ultra-gonflé par l'humidité mais grâce à la culotte en plastique, mon pyjama restait sec. J'étais généralement conscient de m'être laisser aller mais parfois, c'était la surprise totale au matin!

 

Ma femme me considérait désormais comme un gamin. Il était devenu impensable ne pas me langer chaque soir. De toutes façons, après avoir constaté que de temps en temps je faisais maintenant involontairement pipi au lit sans même me réveiller de plus en plus souvent, je n'étais moi-même plus partisan de vouloir tenter de passer une nuit sans être bien équipé. Une grenouillère d'une seule pièce intégrant les pieds avait fort naturellement été ajoutée à ma tenue nocturne.

 

J'était devenu incapable de repérer le moment ou je mouillais mes coucheset encore moins capable de me retenir.

 

Enfin, je réalisais avec une certaine appréhension que j'aimais porter des couches et faire le bébé. Je trouvais cela si rassurant. Je me sentais tellement en sécurité.

Ma femme m'interpellait tous les soirs pour le même cérémonial.

- Allez mon bébé, on va mettre la couche !

Parfois, je trouvais tout cela un peu fou et je répondais mollement:

- NN N Non.

- OK, mais gare si ton pyjama est mouillé demain matin.

Ces menaces voilées conjuguées à ma propre envie inconsciente d'être traité ainsi suffisaient à me plier à sa demande. Refusant finalement de courir le risque, je me rendais et la suivais dans la chambre pour me faire langer.

 

Un jour, comme je rentrais du travail, ma femme surexcitée m'accueillit.

- Ah te voilà ! J'ai une surprise pour mon bébé. Sur ma proposition, tu as été choisi pour tester notre dernier prototype.

 

A cette époque, ma femme travaillait comme automaticienne dans un centre de recherche en robotique. Son laboratoire étudiait les possibilités d'utilisation des robots dans la vie de tous les jours. On le savait depuis longtemps, l'évolution implacable de la démographie rendrait inévitable l'emploi des robots pour l'aide aux personnes âgées toujours plus nombreuses.

Je n'imaginais pas ce que "tester un prototype" signifiait jusqu'au moment ou comme tous les soirs je sortais de la salle de bain, disposé à me faire mettre ma couche.

Une sorte de table d'examen munie de nombreux bras articulés trônait dans un coin de la chambre. Je n'étais pas encore revenu de ma surprise que ma femme me prit par la main et m'entraîna jusqu'au bord de la table.

 

- Allonge-toi là mon bébé et laisse-toi faire.

Elle me fit placer le dos à la table et me poussa légèrement. Je me laissais aller en arrière et me retrouvais sur un matelas plastifié. Dès que je fus en position, elle pressa sur les boutons d'une télécommande et la machine s'anima. Des bracelets métalliques surgirent de la table et enserrèrent mes poignets et mes chevilles.

- C'est quoi ce truc ?

- Ca peut paraître un peu brutal, mais ça évite que la personne ne tombe de la table. Ca sert aussi à manipuler plus facilement le patient. Laisse-toi faire et détend-toi, dit-elle.

 

Dans un concert de chuintements de vérins pneumatiques et de ronronnement de servomoteurs, mes jambes furent écartées puis soulevées, entraînant la plus grande partie de mon corps, jusqu'aux épaules. Un instant plus tard, je poussais un petit cri de surprise quand mes fesses retombèrent non pas sur la table mais dans un récipient d'eau tiède. Elles furent savonnées puis rincées. Mes fesses furent à nouveau tirées en l'air puis redescendu. Le coussin de plastique était revenu. Je sentis le souffle chaud d'un séchoir sur ma peau. Puis, un tuyau surgit et aspergea mon sexe et mon entre-jambes de crème. Un bras muni d'une lingette répartit ensuite très délicatement la crème. Je frissonnais au contact froid de la crème. Mes chevilles furent soulevées et le bras continua son oeuvre sur les fesses. Je devinais au bruit que d'autres bras de la machine étaient en train de déplier un change.

Lorsque mes chevilles furent redescendues, mes fesses vinrent se poser doucement sur un change complet et quelques couches droites soigneusement disposées au milieu du change. Tandis que 4 bras tenaient l'arrière du change, 4 autres bras saisirent l'avant et le remontèrent entre mes jambes et le rabattirent tout en le maintenant tendu. Les adhésifs furent fixés sur un change ajusté au millimètre. Une fois de plus mes chevilles furent brièvement tirées vers le haut, soulevant ainsi

mon derrière maintenant bien garni. Le temps pour quelques bras de préparer la pose d'une culotte-plastique à pressions. J'eus à peine le temps d'entendre le claquement sonore des pressions que déjà la machine avait commencé à me passer une grenouillère.

 

Soudain tout redevint calme. Je me retrouvais allongé sur la table matelassée, prêt pour la nuit, mais incapable de rapprocher mes genoux à cause des couches très épaisses et très ajustées.

- Top ! Une minute dix-sept secondes, dit mon épouse.

Je tournais la tête et la vit un chronomètre à la main.

- Quoi ? Dis-je incrédule.

- Une minute dix-sept secondes. C'est au moins 5 fois plus vite qu'à la main. L'araignée-nounou commence à être au point!

 

Ma femme appuya sur un bouton de la télécommande.

- Ce dernier programme a été fait spécialement pour toi.

- Hein ? quel programme ?

 

Je n'eus pas le temps de terminer que la machine s'anima de nouveau. Deux bras m'aidèrent à descendre de la table. Je me trouvais debout, les jambes écartées à cause des couches, un peu bête. Quand la machine ajouta la touche finale. L'un de ses bras terminé par une main approcha une sucette de ma bouche, puis m'administra une petite tape sur mon derrière rembourré en guise de conclusion.

 

Fin.


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